En 1966, un sociologue promis à un brillant avenir n'hésita pas à dire à propos du petit écran « il s'agit d'endormir les gens à bon marché en leur donnant des rêves sans danger. Pas du tout des rêves fous, des rêves anarchiques, mais des rêves circonscris avec des images bien fabriquées définissant elles-mêmes les limites de la folie ». [...]